J’ai récemment écrit une toute petite phrase pour partager la campagne de sensibilisation que j’ai créée pour l’Association des établissements privés conventionnés (AEPC), des CHSLD et centres de réadaptation qui offrent des services publics, mais qui sont gérés par le privé :
L’amour ne dépend pas du lieu de la rencontre, mais des cœurs qui se retrouvent. – Sylvie Cajelait
J’ai trouvé cette phrase inspirante et cela m’a décidé à reprendre l’écriture de ce blogue, pour la partager avec vous. Je voulais également partager cette campagne, ma sixième avec l’AEPC. À l’origine, cette campagne visait à ensoleiller le quotidien des 7 000 résidents des CHSLD et centres de réadaptation privés conventionnés, mais l’Association a vite réalisé qu’elle était avantageuse pour l’ensemble des personnes vivant en CHSLD. Nous avons donc décidé de la rendre publique pour sensibiliser les gens à l’importance de visiter leurs proches en CHSLD afin que la vie continue et que les rires et les sourires fusent dans leur cœur et dans leur milieu de vie substitut. D’où le thème #7000viesàcélébrer. Cette campagne propose d’afficher des photos de visites familiales en CHSLD pour créer un effet d’entraînement qui permettra à plus d’aînés de voir leurs proches pendant la période festive.
L’objectif est de stimuler les visites en CHSLD d’une part et d’autre part de sensibiliser la population à la solitude qui peut affliger les aînés durant les Fêtes.
Il ne tient qu’à nous de bâtir un monde meilleur, une visite à la fois. Alors, qu’en pensez-vous ? Vous embarquez ?
Le Web regorge de renseignements des plus utiles aux plus farfelus. Mais savez-vous réellement comment trouver ce que vous cherchez? Je voulais écrire un billet sur ce sujet depuis un certain temps mais le Huffington Post en a publié un récemment qui vaut la peine d’être partagé. Voici donc 14 astuces Google pour vous faciliter la vie.
Faire-part de Jonathan Quintin, photo tirée du blogue mdelmast.net
Un faire-part de mariage nouveau genre fait son apparition. Pourquoi je m’y attarde ici? Parce qu’il s’agit d’un faire-part de mariage qui sort de l’ordinaire. Il a été conçu comme une infographie. Est-ce le début d’une tendance? Jonathan Quintin, graphiste et ami du futur marié Simon Bird a créé cette infographie en guise de faire-part. C’est original, convivial et les statistiques font sourire.
Même s’il ne s’agit pas d’une tendance, cela démontre une fois de plus que les médias sociaux occupent une place de plus en plus grande dans notre quotidien.
Now THIS is Ridiculous! est un article paru en anglais dans lequel on commente une expression très intéressante « time poverty » qu’on pourrait traduire par « manque de temps chronique » ou « défavorisation reliée au temps » ou toute autre expression aussi imagée. Sachant qu’on dispose de 24 heures par jour, beau temps mauvais temps, peut-on se considérer désavantagé par rapport à une autre personne?
Bien que Facebook soit le réseau social le plus utilisé, il n’en demeure pas moins que bien l’utiliser n’est pas aussi facile qu’il y paraît. Dernièrement, Sophie Trinquant a écrit un article intéressant sur les différentes utilisations du « j’aime » sur Facebook pour le blogue Web N’ Vous. Intitulé « Comment être webement correct 2/3 », cet article nous indique quelques utilisations possibles du célèbre bouton « j’aime » :
– aimer un statut, un commentaire ou une page;
– aimer pour signifier qu’on a lu quelque chose;
– aimer pour dire merci;
-aimer pour un échange de politesse ou de bons procédés.
Un seul bouton « J’aime », une multitude de possibilités. Je vous invite à lire l’article pour en savoir plus.
Et vous, quel usage faites-vous du bouton « J’aime » ?
Erik Qualman en met encore plein la vue avec cette video bâtie sous le même format que Social Media Video 2013 – Socialnomics : statistiques chocs, pictogrammes et images faciles à retenir, musique recherchée.
Parmi les statistiques les plus impressionnantes :
– 90% des tweets sont effectués à partir d’une application mobile alors que moins de 1% des budgets d’entreprises est assigné au mobile.
– 70 % des recherches effectuées sur un mobile donnent lieu à une action dans l’heure qui suit.
– Une réponse par courriel prend habituellement 90 minutes alors qu’un texto s’envoie en 90 secondes.
– Les coupons sur mobile ont un taux d’échange 10 fois supérieur aux coupons imprimés.
Je pourrais continuer encore, mais je gâcherais votre plaisir. Bon visionnement!
Si facile à cliquer qu’on en oublie de se questionner
Il s’en dit des choses sur le Web! Et on ne le dira jamais assez, il ne faut pas croire tout ce qu’on lit sur Internet. Parmi les informations les plus partagées par les internautes, on remarque les légendes urbaines, les canulars et toutes sortes de rumeurs plus ou moins crédibles.
Une légende est une histoire moderne, se rapprochant du mythe, pouvant emprunter à tous les genres et se répandant habituellement de personne à personne par le bouche à oreille, par Internet, par un courriel ou par d’autres moyens.
Certains thèmes sont plus propices aux légendes urbaines, car ils suscitent des émotions vives ou font appel à nos peurs. Ce sont des thèmes qui nous touchent et qui nous poussent à partager de l’information « juste au cas où ce serait vrai ». Il n’est pas rare de trouver des histoires regroupant plus qu’un thème.
Parmi les thèmes les plus utilisés, on retrouve, mais pas nécessairement dans cet ordre :
la violence, incluant le meurtre, le viol et l’enlèvement;
la médecine et les maladies ;
les technologies, l’Internet et les inquiétudes sur leurs aspects négatifs;
les animaux, particulièrement les espèces dangereuses ou effrayantes telles que les serpents et les araignées;
les personnalités du domaine artistique, politique ou autre;
les entreprises, particulièrement les multinationales américaines dont Coca-Cola, Wal-Mart, Disney, et bien d’autres;
des actes révolutionnaires;
les sciences occultes et l’ésotérisme.
Comment reconnaître ces légendes urbaines parmi tous les courriels et les messages Facebook, Twitter, Google+ et autres que nous recevons chaque jour?
Ces messages ont certaines caractéristiques en commun.
Souvent le message est écrit sous forme d’histoire racontée à la première personne du singulier, au « je». La personne nous parle d’un fait qu’elle a vécu ou qu’elle a vu et nous invite à être vigilant et à partager son message avec toutes nos connaissances, amis, relations, abonnés, etc.
Il y a habituellement des détails sur l’endroit où l’évènement s’est produit, l’heure ou le moment de la journée, la date et souvent le nom d’une compagnie (mais pas nécessairement).
Bien entendu, le lieu va varier pour qu’il soit familier au lecteur et donc qu’il atteigne mieux sa cible. Si la légende urbaine est née aux États-Unis et qu’on y parle du stationnement d’une pharmacie CVS à Philadelphie, cet élément pourrait avoir été changé pour devenir le stationnement d’un Pharmaprix à Montréal.
Il y a souvent un sentiment d’urgence qui se dégage de ces textes. Et trop souvent, quand on reçoit ce genre de message, on partage l’information sans se poser de questions, car il vient de quelqu’un qu’on connaît. On participe donc, nous aussi, bien involontairement à propager des rumeurs qui sont souvent sans fondement.
On ne s’en cache pas, la propagation des rumeurs en général et des légendes urbaines en particulier a été accélérée par l’arrivée d’Internet et l’utilisation croissante des réseaux sociaux.
Quoi faire si on reçoit un message qui nous demande d’aviser tous nos amis?
Avant de peser sur le bouton de partage, je vous recommande la prudence. Prenez une minute de plus pour valider que le message est un canular connu. Voici quelques sites Web pour valider le degré de vérité d’un message.
Court résumé de certaines légendes urbaines qui mentionnent la Sûreté du Québec. Par exemple :
Appel de phares identifié aux gangs de rue
Canular disant de ne pas faire clignoter ses phares si l’on croise une voiture avec les phares éteints pour l’en avertir. Il s’agirait d’un rite d’initiation d’un gang de rue.
Hoaxbuster — Site vérifiant les légendes circulant par courriel.
On y mentionne depuis quand un canular circule, on y lit les versions les plus courantes d’une même légende, et un article nous explique pourquoi il s’agit d’une légende urbaine.
On y retrouve même la vidéo de l’aigle ayant supposément attrapé un enfant au Mont-Royal à Montréal. Les légendes urbaines envahissent même You Tube, qu’on se le dise!
Ici, il s’agit vraiment d’un moteur de recherche. Vous tapez ou copiez un extrait du canular ou le canular entier et la base de données vous dira s’il s’agit d’un canular en circulation.
Si je tape « rite d’initiation » de mon exemple précédent, j’obtiens une page où on me donne la date de découverte (avril 2002), le statut de l’énoncé, on me donne un résumé et on me recommande une action à poser, on m’offre des explications (pourquoi c’est une légende urbaine) et on me donne quelques exemples des textes habituellement utilisés pour propager cette légende urbaine.
Secuser.com — Liste des faux (et vrais) virus circulant sur internet
Répertorie les faux et les vrais virus qui circulent sur Internet et indique leur degré de risque potentiel : aucun risque, faible risque et risque important. Malheureusement, les données ne semblent pas avoir été mises à jour depuis 2010. Par contre, j’y ai retrouvé un virus qui a circulé récemment et qui a été répertorié en août 2008.
Liste de légendes urbaines par genre. Ce n’est pas exhaustif, on s’en doute, mais c’est un bon survol et il y a des chances que vous en reconnaissiez quelques-unes. Ce n’est pas l’endroit où aller pour vérifier la véracité d’un courriel ou d’un message que vous avez reçu, mais bien pour en apprendre plus sur le sujet.
Page d’accueil avec catégories. Il est facile de s’y retrouver. Les légendes urbaines sont classées en 5 catégories : vrai, faux, quelques éléments de vérité, indéterminé, véracité non établie.
Mon même exemple se retrouve ici. Après avoir sélectionné « crime » dans le menu principal et « crime prevention tips » dans le menu secondaire, j’obtiens en 5e position mon exemple précédent :
Après vérification, vous constatez que le message que vous avez reçu est un canular. Quoi faire?
Si vous recevez des canulars ou des histoires de ce genre, particulièrement si elles mentionnent des instances connues et respectées des citoyens (Sureté du Québec, Hôpital X, le nom d’un service de police, ou autre) rapportez-les aux instances concernées pour les faire valider.
En voyant ces noms, les gens ont instinctivement confiance et partagent la rumeur sans vérification. Si ce n’est pas fondé, les institutions doivent être mises au courant pour qu’elles puissent adresser la situation et émettre les correctifs nécessaires.
Vous avez déjà enfoncé le bouton « send »?
Il est trop tard pour rattraper le message, mais au moins vous saurez quoi faire la prochaine fois…
Question comme ça, histoire de jaser : recevez-vous encore des canulars par courriel?
Difficile de croire qu’il y a encore des gens et des entreprises qui considèrent les réseaux sociaux comme étant marginaux et, de ce fait, sans intérêt. Si jamais votre patron fait partie de ceux-ci, je vous suggère de lui montrer Social Media Video 2013 d’Erik Qualman.
Erik Qualman est un auteur américain qui a écrit Socialnomics, Digital Leader et Crisis. Il donne des conférences à l’échelle internationale sur la génération Y, le leadership digital, les médias sociaux et les tendances de l’industrie. Son livre, Socialnomics publié en 2010 a été la base de la série de vidéos Social Media Revolution. Pour une 4e année, son équipe nous présente une vidéo qui résume l’état des médias sociaux dans le monde.
Il s’agit d’une façon simple et différente de constater et de mesurer l’ampleur des réseaux sociaux dans notre quotidien.
Par exemple :
Si Facebook était un pays, il serait au 3e rang avec son milliard d’utilisateurs;
1 couple sur 5 s’est rencontré en ligne;
YouTube est le 2e plus important moteur de recherche au monde;
Si Wikipédia, l’encyclopédie en ligne, était imprimée demain matin, le livre compterait 2 250 000 pages.
Ces quelques images montrent la popularité des réseaux sociaux et nous indiquent qu’ils ne sont pas à prendre à la légère. Ce qu’on écrit sur les réseaux sociaux a une durée de vie inconnue et peut toujours venir nous hanter. Il est important de comprendre l’ampleur du phénomène pour mesurer sa portée sur nos vies. Comme dans tout jeu, il faut connaître les règles pour que l’expérience soit intéressante.
Je vous invite à visionner la vidéo et à laisser vos impressions ici.
Vous êtes une femme d’affaires, une entrepreneure, une professionnelle et vous voulez vous démarquer de la concurrence? Cette formation est faite pour vous! C’est sous le thème La visibilité et le branding personnel que le groupe Femmes d’influence de Linked Québec, dont je suis l’une des co-modératrices, vous accueillera pour son premier évènement de la saison.
François Vincent, formateur et conférencier spécialisé en marketing des petites entreprises et blogueur en stratégies marketing, guidera les participantes dans cette belle aventure qui leur permettra de réfléchir et de travailler à leur propre branding personnel.
Ce déjeuner formation vous permettra de comprendre les enjeux du branding personnel et d’apprendre à faire VOTRE branding personnel.
Vous apprendrez à :
vous faire connaître;
vous positionnerdans votre marché;
concevoir votre message personnel;
vous démarquer de la concurrence.
Je remercie Me Lina Slavova, membre de la communauté Femmes d’influence de Linked Québec, d’avoir organisé cet évènement et de nous recevoir dans ses bureaux de Montréal.
Offre exclusive
Les participantes recevront en cadeau l’enregistrement vidéo de l’évènement, gracieuseté de Me Slavova.
Titre de l’atelier : Apprenez à faire le marketing de vous-même Date : 29 octobre 2012 Heure : 7 h 30 à 9 h Lieu : 1, Place Ville-Marie, Bureau 2001, Montréal (Québec) H3B 2C4 Coût : 75 $ (déjeuner inclus) Nombre de places : 20
Réservez votre place par courriel avec Me Lina Slavova à lslavova@legalproconsultant.com.
D’entrée de jeu, je l’avoue bien humblement, j’ai un faible pour le WordCamp Montréal. Convivial, instructif, abordable et propice aux échanges, il s’agit d’un évènement qui me plaît. L’édition 2012 n’a pas fait exception.
Profil utilisateur et profil technique
L’une des forces de l’évènement est d’offrir des conférences techniques et d’autres destinées aux utilisateurs. Il est donc facile pour les participants de déterminer les présentations appropriées à leur niveau de connaissance et à leurs attentes.
Une nouveauté fort intéressante : le Happiness Bar
Imaginez une table d’experts WordPress qui n’attendent que vos questions pour vous dépanner. Et ce, avec une aisance et une convivialité qui m’ont fait regretter (enfin, presque) de ne pas avoir de problème à soumettre à leurs neurones. Plusieurs tweets de participants satisfaits des services reçus au Happiness Bar sont apparus au cours des deux jours qu’a duré l’évènement.
Des conférences pour tous les goûts
26 conférences ont été offertes aux participants dans deux salles dédiées chacune à un profil (utilisateur ou technique). Pour ma part, j’ai fréquenté la salle réservée aux utilisateurs.
Mon TOP 3 des conférences qui ont été présentées dans cette salle :
1- CT Moore, SEO for WordPress
2- Elisabeth Bucci, Release Your Inner Project Manager and Make More Money
3- Mark John Hiemstra, Stop Writing for SEO and Star Writing for Your Audience
Les présentations seront-elles accessibles aux non-participants?
Bien sûr. Les organisateurs du WordCamp ont inséré les liens dans la page Programme du site Web. On y retrouve une courte biographie, le résumé du sujet abordé et les diapos pour chacun des conférenciers.
Mon appréciation personnelle
Convivial, instructif, utile, bilingue et divertissant, le WordCamp regroupe de très bons conférenciers qui partagent avec les participants leur savoir et des trucs du métier. Les frais d’inscription gardés volontairement à un prix plancher de 40 $ rendent l’évènement avantageux pour ceux qui utilisent WordPress à des fins personnelles ou pour leur PME. Le Happiness Bar s’avère vraiment génial pour recevoir les conseils d’experts en WordPress. Les périodes de réseautage permettent d’échanger des idées et de voir ou revoir des gens qu’on suit sur Twitter, Facebook et LinkedIn ou pour effectuer de nouvelles rencontres.
Je tiens à lever mon chapeau aux organisateurs, bénévoles et commanditaires qui nous ont fait vivre un WordCamp Montréal 2012 de grande qualité.
Pour savoir ce qui se passe du côté de WordCamp Montréal